HPO / THCP

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Les dérivés proposés ici contiennent des cannabinoïdes puissants, ils se distinguent du CBD par leurs effets qui peuvent être psychoactifs et euphorisants ainsi qu’une sensation d’euphorie et d’intense relaxation. Il est donc fortement conseillé de les consommer avec modération, déconseillé de les consommer avant de conduire ou pour les femmes enceintes ou allaitantes.

Le HHCPO, aussi appelé HPO, est une molécule issue de la famille des cannabinoïdes, proche parent du THC et du CBD. 

La molécule HHCPO, également connue sous le nom d’hexahydrocannabinol phénol, est un ajout relativement nouveau à la famille des cannabinoïdes, un groupe de composés naturels présents dans la plante de Cannabis sativa. Il est dérivé du HHC, lui-même dérivé du CBD. L’HHCP-O est un HHC hydrogéné et acétylé, créé en laboratoire, il n’existe donc pas à l’état naturel.

La molécule HPO est un cannabinoïde mineur, ce qui signifie qu’elle est présente en plus petites quantités dans la plante que les cannabinoïdes plus connus comme le CBD (cannabidiol) et le THC (tétrahydrocannabinol).

D’un point de vue scientifique, la molécule de HPO présente une structure chimique unique qui la distingue des autres cannabinoïdes. 

Bien que sa structure soit similaire à celle du CBD et du THC, le HPO présente une disposition différente des atomes et des groupes fonctionnels. Cela contribue à son intensité unique.

Comme nous l’avons souligné, nous ne savons encore que peu de choses sur le HHCPO et ses effets à long terme, mis à part celui de développer une extrême puissance. Bien qu’il apparaisse sûr et sans danger, il semble pouvoir provoquer les mêmes effets indésirables que le THC.

Aussi, pour votre bien-être, nous vous conseillons de faire preuve de prudence lors de la consommation et d’éviter toute surconsommation.

Le HHCPO est légal jusqu’à ce qu’un effet de dépendance soit prouvé. En effet, en France, la réglementation porte principalement sur le taux THC. Celui-ci étant reconnu pour ses effets d’accoutumance et de dépendance, en plus de certains effets délétères, il est interdit par l’Agence Responsable de la Santé Publique en matière de médicament et de produits de santé : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).